Une fois de plus, le week-end a été légèrement prématuré : nous avons commencé dès vendredi par aller voir la partie administrative d’un mariage en Russie.
Avant de nous rendre à l’hôtel de ville, nous avions rendez-vous avec Anastasia au «Tsoum» (centre commercial soviétique). En attendant Anastasia, nous avons croisé un couple de mariés à pied, accompagnés de 5 personnes, bouteilles ouvertes à la main… Nous pensions avoir rencontré une partie du cortège du mariage auquel nous allions assister dans les minutes suivantes. En réalité, non. Quand nous sommes arrivés à l’établissement, devant lequel se trouve une statue dorée d’une cigogne au-dessus d’un bébé (symbole évident de la progéniture qui doit suivre le passage à cet établissement), nous avons retrouvé un autre groupe d’invités.
J’oubliais : la mariée est une prof de français de la ville que nous n’avions encore jamais rencontré, mais ça lui faisait plaisir, nous aussi, tout le monde était content.
Nous sommes donc rentrés dans le bâtiment, un vestiaire gratuit à l’entrée comme dans la quasi-totalité des lieux publics en Russie nous attendait. Après avoir déposé nos manteaux et que la dame du vestiaire ait râlé parce qu’il n’y avait pas de boucle à l’intérieur du manteau d’Ophélie pour l’accrocher, nous nous sommes dirigés vers le 2ème étage (je rappelle qu’il s’agit du premier étage français !). Là-haut, un grand hall et deux portes principales. La première donnant sur un petit bureau où les mariés ont signé des papiers debout, à la va-vite, et sous l’indifférence de l’assemblée. Seul un photographe et deux ou trois invités m’accompagnaient à la porte de ce bureau pour assister à la signature des simples actes de mariage… Une fois les papiers signés, le couple et les invités nous sommes dirigés dans la seconde salle, de taille moyenne, dans laquelle deux violons et un violoncelle nous attendait. Ici, une femme a lu sans grande conviction les textes à lire devant les mariés. Au fil de ces textes, les mariés ont échangé leurs alliances, ce sont embrassés, pour finalement faire quelques pas de valse, sous les yeux des invités. Une fois les formalités accomplies, la quarantaine d’invités est allée féliciter les mariages… Les derniers à passer étaient les français, en train de se faire remarquer en faisant deux bises à la mariée (ici, on s’embrasse peu, et lorsque l’on s’embrasse, c’est toujours une bise… Sacrés français !). Enfin, la fameuse photo de groupe a eu lieu, faite par un photographe en vieux T-shirt de la semaine…
La sortie du bâtiment se fait évidemment en repassant par la case Vestiaire. Une fois dehors, les invités attendent les mariés pour leur jeter des pétales de roses, et, comme le veut la tradition, des pièces ! De cette manière, des centaines de pièces de 5 Kopeks ont volé aux pieds des mariés pour leur porter bonheur et leur garantir de l’argent tout au long de leur vie commune… Enfin, un petit vin d’honneur est improvisé sur le chemin de la sortie : coupes de champagnes en plastique et chocolats étaient de la partie. De notre côté, les français et Anastasia sommes rentrés chez nous… Nous avions un nouveau levé matinal qui nous attendait le lendemain pour nous diriger vers Nijni-Novgorod…
J’oubliais : la mariée est une prof de français de la ville que nous n’avions encore jamais rencontré, mais ça lui faisait plaisir, nous aussi, tout le monde était content.
Nous sommes donc rentrés dans le bâtiment, un vestiaire gratuit à l’entrée comme dans la quasi-totalité des lieux publics en Russie nous attendait. Après avoir déposé nos manteaux et que la dame du vestiaire ait râlé parce qu’il n’y avait pas de boucle à l’intérieur du manteau d’Ophélie pour l’accrocher, nous nous sommes dirigés vers le 2ème étage (je rappelle qu’il s’agit du premier étage français !). Là-haut, un grand hall et deux portes principales. La première donnant sur un petit bureau où les mariés ont signé des papiers debout, à la va-vite, et sous l’indifférence de l’assemblée. Seul un photographe et deux ou trois invités m’accompagnaient à la porte de ce bureau pour assister à la signature des simples actes de mariage… Une fois les papiers signés, le couple et les invités nous sommes dirigés dans la seconde salle, de taille moyenne, dans laquelle deux violons et un violoncelle nous attendait. Ici, une femme a lu sans grande conviction les textes à lire devant les mariés. Au fil de ces textes, les mariés ont échangé leurs alliances, ce sont embrassés, pour finalement faire quelques pas de valse, sous les yeux des invités. Une fois les formalités accomplies, la quarantaine d’invités est allée féliciter les mariages… Les derniers à passer étaient les français, en train de se faire remarquer en faisant deux bises à la mariée (ici, on s’embrasse peu, et lorsque l’on s’embrasse, c’est toujours une bise… Sacrés français !). Enfin, la fameuse photo de groupe a eu lieu, faite par un photographe en vieux T-shirt de la semaine…
La sortie du bâtiment se fait évidemment en repassant par la case Vestiaire. Une fois dehors, les invités attendent les mariés pour leur jeter des pétales de roses, et, comme le veut la tradition, des pièces ! De cette manière, des centaines de pièces de 5 Kopeks ont volé aux pieds des mariés pour leur porter bonheur et leur garantir de l’argent tout au long de leur vie commune… Enfin, un petit vin d’honneur est improvisé sur le chemin de la sortie : coupes de champagnes en plastique et chocolats étaient de la partie. De notre côté, les français et Anastasia sommes rentrés chez nous… Nous avions un nouveau levé matinal qui nous attendait le lendemain pour nous diriger vers Nijni-Novgorod…
Dernière info: les mariages russes ne se ressemblent pas... Natacha et Costia, un couple d'amis, nous ont fait voir les photos de leur mariage... Incomparable.
1 commentaire:
Belle photo de mariage,Thony! En effet en agrandissant, on voit très bien Kojak, debout derrière les mariés, faisant une grimace type "Zoom sur ma droite mon garçon, ça vaut la peine!"
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